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Tafat un Mazigh une amie qui nous ne veut pas du bien

Certaines personnes se prennent en étant personne, de Bou kharouba à tamazgha, l'identité inventée et manipulée. Enfanté par des Français, le pays abêti d'une unité fabriqué par des déserteurs et néo-colonisateurs. L'écurie d'Algérie est une femme infâme se donnant acharnement à ses amis aux lies de la société aliénée. En otages et en désavantage, la Kabylie salie chante, et décante ses maux et fardeaux. La lumière de l'amazighité, hier tu hésitais, aujourd'hui ta décidée, de te faire assimiler.

Tafat u Mazigh, une manipulée ou arriérée, une exilée ou excitée, autoproclamée pour des débilitées d'algérianité. Le combat d'un Kabyle, n'est pas débile, à défaut de comprendre, va apprendre, que ma patrie colonisée, ne veut plus de dégénérés. Facile de s'attaquer d'un autre lieu, difficile de se justifier à tes aïeux, d'avoir perdu ton âme, pour ses ânes. Aucune pudeur dans ta demeure, que des déshonneurs de l'honneur de tes aînés tant éclaboussée par tes pensées.

Arrête donc de te vanter, tes arguments ne sont que vents et marrés infondés, arguer de séparatiste larguer d'affairiste. Entre la Nouvelle-Calédonie et de nouvelles calomnies, tu ne connais pas la différence en l’occurrence. Tu gesticules au ridicule, la fée Nation, et l'effet lotion pour séduire et accueillir des paumées de la société aliénée. Tu clames des animosités, pour justifier tes simplettes devant tes hommes lète, à défaut de les manger, tu te les es tapés. Tu n'es pas chouette, la brouette, ta seule prouesse, la maîtresse, à rassembler une fois te donner. Narcissisme et égoïsme, le nombril a parlé et se sent concerné, microbe proliféré, robe préférée, illettrée et tu braies.

Famée et diffamée, faveur proféré, ferveur profané, la femme infâme égocentrique donne la trique à des cyniques. En spectacle tu te donnes, un tacle je te donne, pour démontrer ta culpabilité et de te l'imputer. Un rien prie dans le filet, comme un chien se faufiler, galopin et aboyée, l'injure et le parjure de ce que tu es. Tes abnégations, accusations, diffamations et affabulations ne sont que tes ablutions pour détourner la vérité. Ton pouvoir et ton savoir ne sont qu'illusoire et dérisoire, te voir braire, me distraire. Courageuses et téméraires face à l'orageux et sanguinaire, mes pensées éclairées contre ton idée limitée d'attardée.

Tu m'accuses de Makiste, tu es drôlement triste, ton seul argumentaire, pour me faire taire, me fait rire par terre. Accusateur comique, utilisateur phonique, omniprésent et omnipotent, entourée de rapatriés, guère organisée, guerre légalisée. Tu nous parles de guerre fratricide, je te réponds gendarmicide, en ajoutant islamiste et salafiste. Un Kabyle n'est pas aussi débile que tu le prétends, alors pourquoi tes braiments. Je suis le bourriquier à te guider dans ton infirmité tant exploitée, à te diriger vers la liberté.

Tu braies partout et tu trais des fous, tu fais un blogue et te logues, pour dénoncer ton absurdité reflétée. Je suis ton portefaix, et ta porte fait, tu as joué avec le briquet et tu t'es brûlé. Menace et plainte, pose des plaintes, le bricolage et le racolage entre amis voilà ta vie. Avis opposé, à vie posée, tes flatulences nauséabondes, en l’occurrence immonde la morale modale, réelle et naturelle. Une exportée ou attardée de l'algérianité, accusent des exilés et occupés, de récupérer leur dignité, habitée et infectée par l'arabité. L'importance que tu portes, c'est de laisser la porte, à tes goumiers aimés, sous ton air nié nier, sans jamais tergiverser. Engagé en mass Ferhat, encagé en masse verrat, colonisé et apatride, colon anisé et appâts Atrides, voilà les antagonismes du Kabylisme.

Malek AIT IZEM

Tag(s) : #Ait Ahmed Said Sadi Kabylie Matoub
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